Vendredi 15 octobre 5 15 /10 /Oct 16:26

     Comme j'étais parti en vacances, je n'ai pas pu nourrir ce blog. Je reviens néanmoins avec des souvenirs.

 

J'ai hésité entre mon cul et mon zob pendant près d'un mois. Les mecs que j'ai rencontrés aussi d'ailleurs. Dans un sauna parisien, je venais avec la ferme intention de bouffer de la salope. J'étais chaud à prendre de force quelqu'un. Tout en haut, là où il y a les cabines, je me suis faufilé entre les types qui zyeutaient. Là, je trouve immédiatement une petite cochonne qui me fait une gueule de saute-au-paf.

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Un peu comme ça, vous voyez. Déjà occupée aussi la salope. Il avait face à lui deux types qui lui fourraient la gueule à tour de rôle, en le tenant par les cheveux. Il avait les cheveux très courts, et du foutre au coin des lèvres. Je me suis avancé et j'ai sorti mon zob.

 

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Il a grogné en voyant le morceau. Il avait les yeux grands ouverts.

Je me suis avancé, et il m'a pompé. Il s'étouffait un peu. Je lui ai enculé la gueule à c'te pute.

- "Arrête, tu m'étouffes", qu'il m'a dit.

- "Ta gueule grosse pute. Suce."

Je me suis défait rapidement, et j'ai voulu l'enculer. Il s'est réfusé. J'ai voulu l'immobiliser, mais j'ai senti que ce n'était pas un bon trip. La sale pute !

    J'ai rôdé un peu, la queue à l'air, me paluchant comme un bâtard.

Cinq minutes plus tard, je trouve la nympho du jour qui paie sa tournée. Il se fait bourrer comme une chienne par un Arabe.

 

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Façon foyer d'immigrés.

- "Putain, il aime la bite c'te fils de pute !", que j'dis.

Le black bedonnant qui est devant moi me sourit et dit, avec un accent des îles.

- "C'est déjà le sixième qui lui passe dessus."

    Une vraie pompe à foutre l'enculé ! Tout rentre. Il a dû en prendre des kilomètres"

. Et il garde toujours son air extasié. Il y a dix types avant moi. Si je passe, ils vont me jeter. L'Arabe se vide les couilles dans la salope, mais je sens que je ne pourrai pas attendre.

    Je passe mon chemin. Je suis hyper-excité.

Après une errance de dix minutes (l'éternité pour une paire de burnes pleines), je trouve deux types. L'un des deux est une chienne finie, mais l'autre est actif. Il a une belle queue aussi, le salaud.

- "Tu sautes ma pute ?", qu'il me dit.

Evidemment, ça ne se refuse pas. J'astique comme un malade. L'autre me susurre à l'oreille.

- "Soit tu te laisses enculer, soit tu t'arrêtes là."

    Le bâtard, le chien. Et l'autre qu'a un cul à tomber.

 

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C'est trop bon, je ne peux pas partir.

- "Vas-y, connard. J'vais lui démonter sa chatte à ta pute."

Il me lubrifie, puis il se glisse à l'intérieur.

- "Putain, t'es monté comme un âne, mec."

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- "Tu donnes ton cul, tu encules ma pute. Tu fais la pute pour avoir ma pute quoi."

 

    Il est allé jusqu'au bout le pourri. Sa pute était aux anges. Le fion rempli et qui sortait.

Putain, j'suis un enculé. C'était rudement bon !

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Dimanche 5 septembre 7 05 /09 /Sep 17:00

 

            Il m’est venu, cet après-midi, une fatigue que je n’arrive pas à m’expliquer. Je n’ai plus envie de regarder les vidéos pornos sur Barcelona porn, ni sur Public sex, et les grosses bites de Banana blog, de Big dotados et de Mirame la polla ne m’excitent pas. Et si j’étais devenu sage ? Ou si j’avais été touché par la grâce ?

            Je sais ce que je risque, essayant moi-même d’entretenir un blog, à lancer ce genre d’avis. Pourtant, je suis persuadé que ce sentiment ne m’est pas exclusif. Je serais curieux de lire les avis d’internautes qui tomberaient sur cet article.

            Le diable et les démons me préservent d’avoir été brusquement assagi. Si mon chibre et mon cul ne me répondaient plus, soudainement, je me sentirai châtié plutôt que racheté. Alors est-ce la faute de l’habitude ? Serais-je insensibilisé, cautérisé, aurais-je des cals à l’âme qui m’empêcheraient de ressentir la puissance du désir sexuel ?

            Il est vrai que je vais assez souvent sur un site de dialogue en ligne. J’y lis les mêmes messages, j’y vois les mêmes images : des minets qui veulent du moins de vingt-cinq ans, des quadras qui estiment pouvoir encore séduire des minets, du moins des trentenaires, de plus âgés qui ont été aguerris par trop de fins de non-recevoir. J’ai plus l’impression d’entrer dans un administration. Parce que j’ai une grosse bite et un gros appétit, tous les passifs se croient bien fondés à l’avoir dans le fion. Mais je n’ai pas annoncé que je baisais toutes les salopes qui se présentaient. Je trouve même que j’ai le droit de choisir, et de dire non quand bon me semble.

            Il y a maldonne sur ces sites. Trop de mecs pensent que les sites de dialogue facilitent les rencontres. Ils les rendent plus complexes, au contraire.

            Rien n’est plus opposé à ces sites que les backrooms. Dans le noir, plus ou moins complet, dans les recoins d’un établissement spécialisé, on se glisse les mains à mi-corps tendues vers l’avant, dans un dédale, dans une pièce qui ouvre sa gueule sur l’inconnu. Le cœur vous bat, vous avez l’impression qu’on bouge, vous sentez des odeurs. Parfois, c’est déjà en pleine action. Ici, pas question de profil, de carte de visite ou de photos. Tout est sensuel sans être visuel. Vos mains rencontrent quelque chose : c’est un cul, c’est une queue, c’est un flanc, c’est un visage dont la bouche a enfourné une ou deux bites, c’est une chute de reins…

            Bientôt, votre propre corps est investi. Vous acceptez ou non le toucher, pour des raisons qui vous regardent. Les suceurs et les enculés vont à la pêche de grosses queues, et quand ils en ont trouvé une, ils se mettent immédiatement en position. Aucun mot n’est échangé. On geint, on râle, on susurre. Une bouche de salope m’avale entièrement la pine, goulûment, dans un bruit de succion et un râle de gourmandise. Je lui pousse la queue jusqu’au fond de la gueule, je coince la pute et j’enfile comme un bâtard. Plus tard, un cul somptueux s’approche de moi, par la force des choses. Il est lisse, doux, rond et magnifiquement dessiné. Je siffle mon admiration. Une main fine me touche la queue. La salope se place et enfourne ma queue d’une traite, en se cambrant comme une chienne et en gémissant.

            C’est le lieu où se rencontrent les appétits, bruts, animaux à la limite. Je me souviens de parties mémorables dans les backrooms, où j’ai fini enculé par une énorme bite, une autre dans la bouche, et deux sur les côtés. Souvent, j’en ressors, pour aller boire un verre, puis j’y retourne, pour assouvir ma faim de chiennes et de mâles.

            Putain, il faut que je retourne très vite en backroom !

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Un vrai bon cul de salope ! Une pute qui a faim du cul !

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Je jure que si je rencontre cette pute dans une backroom, je partagerai avec les potes !

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Viens par là te faire remplir, sac à foutre !

 

Cette fois, ça y est, je suis excité.

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Lundi 30 août 1 30 /08 /Août 20:21

     Je suis un mec de records. J’adore baiser, être une bête, m’en foutre jusqu’au nirvana et donner à en perdre la tronche. J’aime battre des records, et qu’on me raconte les records qu’on a battus. Il y a des jours où je me fous bien de ce que la morale pense des baiseurs comme moi et de beaucoup d’autres. J’éprouve un grand bonheur à foutre mon gros zob dans le cul d’un mec qui fait la chienne, à voir une salope se mettre à genoux devant mon gros paquet et attendre que je sorte l’andouille. 

       Pourtant, pendant longtemps, je n’ai pas été confiant en mon potentiel. Je me suis cru une bite passable. J’avais au collège un pote qui en avait une énorme, et en comparaison, je me trouvais ridicule. Mais depuis que je vis avec un mec, avec deux même, je vois bien de quoi je suis capable. Il y a trois semaines, M., mon mec, a raconté à C., ma deuxième salope, qu’un jour de septembre, je l’avais baisé douze fois. C. voulait voir ça, avoir sa part de bite dans la gueule. Alors on a fait ça, avec ordre et méthode. Chaque coup devait durer au moins une demi-heure et j’avais le droit à une pause identique. C. était mon suceur et M. mon enculé. Nous sommes arrivés à 10. J’étais crevé mais heureux. J’ai eu des orgasmes très forts vers la fin, sans éjaculer. Dans le même ordre d’idées, j’ai baisé M. sept fois en éjaculant un samedi.

     Quand j’étais passif, j’ai sucé en trois heures une trentaine de types, au gloryhole de la fac de Nanterre.  Quelques années plus tard, à Lyon, je me suis fait sauté par 17 mecs. 

     On parle souvent du post coitum animal triste : après le coït nous serions dégoûtés de nous-mêmes. Il me semble ne jamais avoir éprouvé ce dégoût, parce que je n’ai jamais baisé que par goût.

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Moi aussi je suis un fan de glory !  Si quelqu'un veut m'inviter à un plan glory, je suis prêt et infatigable.

 

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J'adore cette photo ! Je kiffe la queue et le mec qui l'enfourne ! Comment peut-on être coincé du cul ? Quel malheur !

 

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Remplir la gueule d'une salope avec deux bonnes grosses bites, la voir s'enivrer de l'odeur de mâles, de la purée de zob. Putain, que j'aime les mecs !

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Une société masculine, fermée, où la pute ouvre sa bouche et son cul, pour le plaisir de servir et de s'en prendre jusqu'à en perdre la tête.

 

Je suis un fana de la baise. Pourquoi est-ce que j'en rougirais ?

 

 


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Vendredi 27 août 5 27 /08 /Août 16:13

    Jusque là, les gens m'aimaient bien. J'entretenais de bonnes relations avec mes voisins, qui sont des gens qui votent à gauche. Ma sexualité ne leur posait pas de problème. J'aime les mecs. Je peux dire que ça n'a jamais été difficile de le faire accepter, d'autant plus que je suis ce qu'on appelle un bourrin. On regarde ma braguette plutôt que mon visage, que ce soit les femmes ou les mecs. 

     Dernièrement, en me baladant en ville avec un pote que je saute de temps en temps, je l'ai entendu m'affirmer qu'il y avait plein de gens qui me regardaient le paquet. Des jeunes comme des vieux, des hétéros comme des homos, des nanas aussi. Je n'y avais pas  trop fait attention. Alors j'ai décidé de me pencher sur ça. Et il avait raison. Le jour suivant, entrant seul dans un troquet, j'ai grillé deux types de suite qui reluquaient ma braguette. Un jeune mec assez mignon, accompagné d'un plus vieux qui devait être son père, a longuement suivi mon moulage pendant que j'entrais et m'installais au comptoir. Je l'ai regardé sans trop marquer mon intérêt. Il a levé les yeux, me regardant une seconde ou deux, puis son regard a dévié, comme si de rien n'était. Quelques minutes plus tard, alors que je vidais mon verre de bière, jambes écartées sur un tabouret, un type d'une quarantaine d'années, assis à une table, avec une nénette assez moche et grosse, s'est penché l'air de rien pour faire de même que le petit jeune. J'ai gardé la pose. Il m'a souri le premier. J'étais sidéré.

     Il y a quelques temps, j'ai trouvé une deuxième salope pour vivre avec moi.  Mon premier mec a fini par considérer que ce serait mieux d'être deux plutôt que tout seul pour me vider les couilles. C'est là que mes voisins ont décidé de me faire la gueule. La voisine notamment est venue me rappeler ce qu'elle appelle "les règles de la décence". J'allais gêner des gens qui désapprouvaient. Oh ! pas elle bien sûr, mais les autres.... J'ai bien compris où elle voulait en venir. Comme j'ai une grosse queue, que je suis un bon coup, que je baise de nombreuses fois dans la journée, je me suis demandé s'il était vrai que pour vivre heureux il fallait vivre caché. Et qu'est-ce que c'est que cette morale ? Je me suis pris la tête toute une nuit, me relevant même pour prendre un whisky. Il est évident qu'un blog est approprié à la présentation de mes idées.

     J'en profite pour mettre quelques photos que j'aime bien.


 

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     La mienne est un peu moins longue, mais aussi grosse. Je bande aussi dur. Par contre, j'ai du bide. C'est là ce que j'appelle une belle bite, une queue qui donne envie, qui inspire le respect. On a envie de se mettre devant, de la sucer, de se la prendre dans le cul ou de la caresser, c'est selon. Les mecs qui ont ça entre les cuisses ne peuvent pas être des timides, des réservés, ni même des modestes. Je crois qu'on pardonne aisément leur grande gueule aux types qui ont des grosses bites.

 

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     L'image du paquet est sans doute l'une des plus excitantes. Bien garni, lourdement mis en valeur, presque outrageux. Je me demande à ce sujet pourquoi tant de mecs (particulièrement les jeunes) s'escriment à faire disparaître leurs attributs  sous des pantalons ou des maillots de bain trop larges.

 

     Les mecs, il serait temps de vous assumer !

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